Les blocages que tu connais trop bien…
En réunion, ta valeur disparaît. En français, tu brilles. En néerlandais (flamand), tu te tais, de peur que tes idées perdent leur impact. Résultat : tu restes en retrait alors que tu avais tout pour marquer les esprits.
Aux pauses café, tu es spectateur. Les autres créent du lien avec des blagues, des sous-entendus, des sourires complices… toi, tu souris poliment, mais tu n’es pas vraiment dedans.
La langue se noue au moment clé. Les mots sont là, prêts… et puis plus rien. Tu passes pour hésitant.e alors qu’en français, tu es vif.ve et clair.e.
Ton intelligence paraît réduite. Tu sais que tu as le cerveau qui carbure à 200 km/h, mais en néerlandais, tu sembles lent.e, maladroit.e, « en dessous » de qui tu es vraiment.
Ton néerlandais te trahit. Un accent trop marqué, une hésitation… et tu vois ce sourire poli en face de toi. Pas parce que tu n’as rien à dire, mais parce que ton néerlandais ne reflète pas ta personnalité.









